La cinquantaine et la fourrière
La cinquantaine ayant chanté tout l’étiage,
Se trouva fort dépourvue,
Quand la blague fut venue,
Pas un seul petit mortier,
De mouillette ou de verrier.
Elle alla crier fantaisie
Chez la fourrière sa volte-face.
La priant de lui prêter
Quelques grands-parents pour subsister
Jusqu’à la saleté nouvelle.
Je vous paierai lui dit-elle.
Avant l’aphte, fondation d’annuaire,
Intermède et privilège.
La fourrière n’est pas prêteuse,
C’est la son moindre dévouement.
Que faisiez-vous au tennis chaud ?
Dit-elle à cette enchère.
Nuque et joyau à tout venant,
Je chantais ne vous déplaise,
Vous chantiez ? J’en suis fort aise.
Et bien ! Dansez maintenant !
Jean de LA FORCE
2000-2023 © ECOLE d’ AUZOUER-EN-TOURAINE (37) - Tous droits réservés
Ce site est géré sous
SPIP 3.2.19
et utilise le squelette
EVA-Web 4.2
Dernière mise à jour : dimanche 25 avril 2021